• L’aide sociale s’organisait via la charité publique : hospices civils ou Maisons de Dieu qui accueillaient des Personnes âgées, handicapées, veuves, orphelins.
  • En 1925 sont créés les CAP (Commissions d’Assistance Publique) avec comme mission de soulager et de prévenir la misère et d’organiser le service de l’assistance médicale. Il s’agissait de structures autonomes du pouvoir communal (sans règlements, aide arbitraire, toujours selon le principe de bienfaisance). Le Public des CAP : ceux qui ne sont pas couverts par la « sécurité sociale ».
  • En 1974, la notion d’indigence disparait pour faire place au moyen minimum d’existence (Loi sur le minimex).
  • En 1976 intervient la création des CPAS (Centre public d’aide sociale) en même temps que la fusion des communes.
  • En 2002, passage de l’Etat providence à l’Etat social actif : au niveau de « l’aide sociale », les CPAS deviennent des Centre Public d’Action Sociale : de nouvelles notions apparaissent : Intégration par l’emploi, intégration par la formation, par la « socialisation », projet individualisé d’intégration sociale (et suspension de l’aide si non suivi du contrat) ; et remplacement du Minimex par le RIS (Revenu d’intégration sociale).